bank-notes-budget-capitalism-12619-1

L’architecte doit il payer pour les dépassements budgétaires de la transformation ?

L’architecte doit il payer pour les dépassements budgétaires de la transformation ?

12 juillet 2019

– Lecture de 3 min

Olivier Constant

Senior Manager Architecture

Je découvre un article du 2 Juillet 2019 dans le journal le Parisien, un court article intitulé « L’architecte doit établir un budget juste ». Je n’ai pas pu m’empêcher d’établir le parallèle avec notre métier d’architectes d’entreprise.

« Si vous faites appel à un architecte pour une rénovation immobilière, il est tenu d’établir une prévision exacte du coût de l’opération. C’est ce que vient de déclarer la Cour de cassation dans une affaire où un architecte avait sous-évalué le projet. Il a « failli à son devoir de conseil », ont expliqué les juges. Précédemment, la cour d’appel avait déclaré qu’un dépassement « de l’ordre de 10 % » était admissible. Mais en l’espèce, l’architecte avait fixé un budget de rénovation inférieur de 15 à 25 % au coût habituel, « standard », c’est-à-dire qu’il avait prévu un coût de moins de 900 € par mètre carré au lieu du ratio standard qui est de 1?000 à 1?100 €.

De plus, cette estimation ne comprenait pas les finitions. Résultat : le coût total avait quasiment doublé le coût estimé. La justice a au contraire souligné la responsabilité de ce professionnel qui aurait dû se renseigner sur les souhaits et possibilités financières de ses clients pour faire une évaluation exacte.

Il a été condamné à prendre en charge le dépassement, à titre de dommages-intérêts pour ses clients. »

Stick to standards

Premier reproche à l’architecte :  ne pas avoir respecté les standards connus d’évaluation de son métier. Dans les métiers de l’informatique, ce n’est pas l’architecte mais le chef de projet qui fait le devis. Et il existe aussi des méthodes d’estimation des projets (points de fonction etc.) qui sont utilisées dans les entreprises. Surtout dans nos métiers, la décision ne se prend jamais seul, les évaluations sont souvent challengées par plusieurs personnes pour arriver à des devis proches de la réalité. Et dans le doute, on se raccroche à des projets déjà réalisés ou des métriques connues. Doit on afficher ou faire connaitre les standards de nos métiers ?

Comply or explain

2ème reproche : si l’architecte s’écarte des standards il a le devoir de justifier cet écart. Un des principes de construction de l’IT est « comply or explain ». Si vous n’êtes pas conformes, vous allez devoir expliquer pourquoi. Ce n’est pas interdit de sortir du cadre fixé, mais il faut alors le justifier, ce qui a manqué à l’architecte mis en cause dans l’article. Le fait de travailler à plusieurs force les échanges et donc les explications.

Quel périmètre pour évaluer le projet ?

3ème reproche : il avait oublié les finitions dans son évaluation. Ne pas bien évaluer le périmètre et ne pas l’expliciter fait bien partie des missions de l’architecte envers ses clients. L’architecte fait les plans de la transformation et doit donc bien expliquer son devis et ce qui est compris dedans ou pas. Dans nos métiers et projets, il s’agit de se mettre d’accord sur la reprise des données, la mise à jour des interfaces etc. Un credo : toujours expliquer ce qui va être fait mais aussi ce qui ne sera pas fait.

Le budget du client

Dans l’explication de la condamnation, le jugement précise que l’architecte aurait dû se renseigner sur les souhaits et possibilités financières de ces clients pour établir une évaluation exacte. Effectivement, c’est un créneau essentiel dans nos métiers. On peut rêver mais « nous avons toujours plus d’idées que de budget ou de capacité à faire ». Bien expliquer où doivent se concentrer les investissements et pourquoi. Quelle valeur va être retirée des investissements prévus.

Conclusion

Le jugement ne fait que reprendre des arguments qui relèvent du bon sens :

Gageons que ce rappel des bonnes pratiques ne concerne qu’une minorité de professionnels.

black-background-costume-dark-1097456-1

L’IoT, ses Promesses et ses Démons

L’IoT, ses Promesses et ses Démons

1 juillet 2019

– Lecture de 4 mn

Clément Lefranc

Senior Manager Architecture

Baptiste Avanzini

Manager Architecture

Dans ce troisième et dernier volet de notre parcours 360° de l’IoT, nous vous proposons de porter notre regard sur les promesses de l’IoT et de nous intéresser par la même occasion aux grandes problématiques techniques et organisationnelles à adresser lors, notamment, du passage à l’industrialisation de vos expérimentations IoT.

Les promesses de L’IoT

Nous l’avons vu lors des deux précédents volets de nos publications, l’IoT est rendu accessible à tous, dans tous les secteurs d’activités et pour des cas d’usages très variés. Cependant, que puis-je en attendre? Voici quelques éléments de réponse.

Moi, entreprise

Moi, employé

Moi, utilisateur final

…Et ses démons !

Un potentiel énorme, de nombreuses promesses mais des problématiques tout aussi nombreuses à prendre en considération sur l’ensemble de la chaîne de valeur IoT. 

Parcourons ensemble cinq éléments clés pour la bonne réussite des transformations IoT :

L’interopérabilité au centre des enjeux

Ainsi, les choix technologiques et techniques (applicatifs et infrastructures) doivent être fait avec la vision d’un écosystème global, interconnecté et interopérable.

La sécurité, une problématique globale à maîtriser

Le sujet de la sécurité est prédominant dans les problématiques IoT actuelles du fait de l’industrialisation des projets. Il convient d’aborder le spectre de la sécurité sur toutes les phases de construction (approche Security By Design) de la chaîne de valeur IoT.

La protection des données personnelles

Les nouvelles législations autour de la GDPR, des projets de lois de protection des données de Santé, etc. sont autant de freins à la valorisation de l’IoT qui a pour but premier de collecter facilement et massivement des données du terrain.

Les modèles de traitement, d’analyse, de stockage et d’exposition des données doivent tenir compte des évolutions réglementaires et être adaptés en conséquence.

Le traitement des données

L’IoT doit être considéré comme une source de données du Big Data. La flotte d’objets (hétérogènes) génère au fil de l’eau un important volume de données, à grande vitesse et avec des formats variés.

Pour donner une valeur business forte à ces données, il est nécessaire de réaliser des corrélations avec le reste du patrimoine data de l’Entreprise. 

Cette dernière doit donc avoir entamée une transformation autour de la Gouvernance Data et adoptée un SI Data Centric.

La gouvernance IoT, un réel facteur clé de succès

L’IoT transforme en profondeur les métiers et les offres traditionnelles. Les changements à effectuer sont complexes et transverses nécessitant une proximité forte entre des équipes métiers et DSI, après tout, l’IoT a avant tout une finalité business !

Il convient donc à chaque entreprise, pour réussir sa transformation IoT, de définir et mettre en place une gouvernance associée qui portera les messages, réalisera la mise en oeuvre et assurera que les métiers sont formés et outillés pour exploiter ces nouveaux gisements de valeur.

Comment la définir ? quels sont ses missions concrètes ? Quels sont les bonnes pratiques ? Comment et quand intégrer le métier ? Comment…

Tous ces différents points seront étudiés, illustrés dans un article dédié à la #Gouvernance IoT.

Sur cette belle lancée, restez avec-nous 🙂

Dans quelques jours, nous vous présenterons notre approche et les clefs pour répondre rapidement et efficacement aux initiatives IoT de vos métiers.

Et vous quelles problématiques IoT rencontrez-vous ?

Nous vous donnons rendez-vous très vite pour la suite de nos articles #IoT.

Stay tuned !

Découvrez les autres chapitres de la série

cloud ready

Pourquoi devenir Cloud Ready ?

Pourquoi devenir Cloud Ready ?

19 juin 2019

– 3 min de lecture

David Sevin

De la trottinette au Cloud

Une révolution est en cours dans nos cités.
Les utilisateurs délaissent les moyens mis à leurs dispositions par les conseils régionaux et les mairies pour des solutions écologiques,  innovantes, souples, facturées à l’usage et dont le bénéfice est immédiat.

Toutefois, bien que pratique, cette nouvelle mode urbaine génère du stress également, comment s’adapter à ces nouveaux usages ? Certaines municipalité ont tenté de les interdire, d’autres se posent la question de la réglementation, quel est le risque pour l’usager et pour les autres usagers, doit on permettre à ces utilisateurs de consommer ces services alors que nous ne l’avions pas prévu ?

Les infrastructures actuelles ne sont pas compatibles avec ces nouveaux usages, la pression des utilisateurs est telle qu’il faut trouver des solutions palliatives pour leur permettre de les utiliser en toute sécurité.

Ces précurseurs bousculent l’ordre établi qui se voit devancé sur les problématiques de développement durable et de transport.

Quel cadre proposer pour que tout le monde y trouve son compte sans pour autant bloquer ceux qui suivent le modèle historique mais que l’on aimerait réussir à convertir aux nouveaux usages ?

Ces réflexions sont en cours à Lyon, à Bordeaux, à Paris, ainsi que dans la majorité des métropoles régionales, et les villes rurales réfléchissent à offrir ces services même si la pression et l’impact sont moins importants.

Ces questions autour des vélos et des trottinettes en libre service ont peu de rapport avec l’IT ou avec nos DSI mais elles rappellent un sujet qui revient depuis plusieurs années : le Shadow IT.

Les utilisateurs consomment des services informatiques sans en informer leur DSI, les contraintes de sécurité sont ignorées, les fournisseurs multiples, la même solution peut être consommée plusieurs fois sans qu’il n’y ait d’optimisation des coûts.

Faut-il l’interdire ? Est-ce que l’entreprise acceptera de retarder son plan de transformation, la sortie d’un nouveau produit ou pire de dégrader la satisfaction client pour respecter les exigences de l’IT ?

Les problématiques se ressemblent, les solutions sont tout aussi éclectiques et dépendent à chaque fois de l’environnement, du cadre et des besoins. L’entreprise doit aujourd’hui permettre à ses utilisateurs, à ses clients internes d’utiliser des solutions compétitives au time-to-market imbattable et correspondant à leurs besoins. Mais l’entreprise doit aussi garantir la sécurité de son SI, de ses données et de son activité.

Ces nouvelles solutions ont généralement des attributs communs, elles sont hébergées dans le cloud, ne nécessite pas d’installation et la configuration est à la portée de tous.

L’enjeu pour les sociétés, quelle que soit leur taille, est de permettre la consommation de ces nouveaux services, de faciliter leur usage dans le respect des normes de sécurité en gardant la maîtrise des coûts qu’ils induisent.

L’entreprise se voit donc imposer une transformation vers le cloud par ses clients internes, ses employés, qui se demandent pourquoi les outils qu’ils utilisent au travail sont moins performants et conviviaux que ceux qu’ils utilisent à la maison.

Ce sont les thèmes que nous développerons dans nos prochains articles.

astronomy-constellation-cosmos-1025469-1

L’iPaaS un ESB dans le Cloud ?

L’iPaaS un ESB dans le Cloud ?

6 juin 2019

– 5 min de lecture

Clément Lefranc

Senior Manager Architecture

#Batch, #ETL, #EAI, #ESB, #API… d’année en année depuis plus de 20 ans les professionnels de l’intégration ont développé et fait évoluer leurs produits pour accompagner les nouveaux modèles d’architectures.

A l’ère du #Cloud, un nouveau produit tisse progressivement sa toile : l’iPaaS.

Faciliter l’intégration des applications dans un écosystème hybride (Cloud to Cloud, Cloud to OnPrem) est la promesse phare de ces integration-Platform-as-a-Service.

Quels sont les acteurs de ce nouveau segment ? Quelle est la philosophie de leur produit ? Quels patterns d’intégration supportent-ils ? Ont-ils vocation à remplacer les solutions historiques OnPrem ? autant de questions que nous pouvons nous poser.

Ces quelques minutes de lecture vous donneront à la fois une vision théorique et concrète du marché et des concepts issus d’une démarche d’Appel d’Offre et de Proof-Of-Concept.

[Le marché] Se réinventer pour survivre

IBM, Informatica, TIBCO, Talend, Axway sont des grands noms de l’intégration parmi tant d’autres dans cet écosystème foisonnant.

Chacun propose une ou plusieurs solutions (IBM Datastage PX, IBM WebSphere TX, Informatica PowerCenter, TIBCO Business Works, TIBCO Mashery, Axway Amplify, …) pour couvrir tous les besoins d’intégration applicative des grandes entreprises.

Ces besoins ayant émergé successivement d’année en année, les DSIs ont lancé des programmes IT dont la résultante est un millefeuille de progiciels d’intégration différents, avec des recoupements fonctionnels et une multiplicité d’interfaces de conception / management / supervision / monitoring.

Autant dire que la simplicité et l’agilité ne sont pas au rendez-vous.

Ces solutions s’appuyaient sur une palette de connecteurs out-of-the-box mais surtout sur de grands bus d’entreprise monolithiques qui ont fait couler beaucoup d’encre (et sûrement de larme et de sueur). Cette architecture pouvait satisfaire les intégrations Ground to Ground au sein d’un même SI mais elle se confronte désormais :

La société Boomi, spécialisée initialement dans les échanges EDI, est l’instigatrice de ce nouveau mouvement iPaaS lancé en 2007. Rachetée par Dell en 2010, Dell Boomi truste la place de leader du marché.

Pour répondre à cette concurrence, les éditeurs historiques ont créé à leur tour des offres iPaaS sur la base de leurs solutions existantes. Simple rebranding ou véritable nouvelle offre ?

En parallèle de ces éditeurs bien ancrés, des acteurs born to be Cloud (à l’instar de Moskitos) apparaissent désormais dans le Magic Quadrant Gartner.

[Le concept] Une boîte à outils survitaminée

Bien malin celui qui pourra vous donner une définition unanime d’un iPaaS. Nous pouvons cependant la qualifier de plateforme d’intégration unifiée administrée dans le Cloud pour répondre simplement et facilement à tous les besoins d’intégration* : ETL, EAI/ESB, EDI, API, MOM, MFT.

Certaines offres affichent également des capacités autour du Master Data Management, du Workflow Management et du développement d’applications Web.

Un véritable couteau suisse de l’intégration en somme qui théoriquement pourra :

* Les éditeurs ne se cachent pas derrière ces grandes lignes et assument pleinement de ne pas offrir la même couverture fonctionnelle et le niveau de performance des solutions spécialisées (exemple : Dell Boomi MoM versus le bus SOLACE). Ce point n’est pas bloquant et sera totalement compensé par l’adoption d’une stratégie Hybrid Integration Platform (HIP) que nous détaillerons dans un second article.

[Architecture] Une architecture au goût du jour

En quête de simplicité de mise en oeuvre et d’agilité, les offres iPaaS trouvent leur essence dans les capacités offertes par le Cloud.

Cependant deux degrés de Cloudification s’opposent :

La plateforme SaaS est :

[Licensing] J’aurais bien besoin d’un FinOps

Le modèle de souscription annuelle “as-a-service” de ces plateformes offre bien des avantages mais également des difficultés lorsque vient la comparaison des différentes offres du marché.

Effectivement chacune s’appuie sur des métriques de licensing fines qui lui sont propres :

Quand d’autre facture pour la mise à disposition d’une typologie de plateforme (small, medium, large) peu importe le nombre d’applications connectées, peu importe le nombre d’utilisateurs développeurs/métiers et peu importe le nombre de flux processés. La métrique la plus restrictive est ici la volumétrie des données qui transitent par la plateforme Cloud.

Il saute aux yeux que le premier modèle sera difficilement prédictif :

Cette connaissance est néanmoins primordiale pour deux raisons :

Certains produits du marché sont une véritable révolution soit par leur approche, soit par leur maturité et simplicité d’utilisation. Un véritable atelier de génie logiciel vous permet au travers d’une plateforme centrale unifiée de réduire grandement la complexité de conception, de documentation, de déploiement, d’exécution et de monitoring de vos flux.

Un iPaaS pour les gouverner tous…

Un iPaaS pour tout concevoir…

Un iPaaS pour tous les traitements…

… Rien n’est moins sûr.

Le suspens reste entier jusqu’au prochain article qui présentera la vision stratégique du moment : l’Hybrid Integration Platform (HIP).

#ToBeContinued

cross-fit-consulting-generation

Crossfit & consulting new generation

Crossfit & consulting new generation

9 avril 2019

– 4 min de lecture

Damien Blandin

Directeur Architecture, Data & Transformation

Aujourd’hui, j’ai décidé de prendre ma plume (enfin mon clavier) pour partager avec vous un petit billet d’humeur à propos de deux activités qui occupent une grande partie de mes journées, le Crossfit et ma vie de Consultant chez Rhapsodies Conseil.

Consultant depuis pas mal d’années, mes journées (+ soir & weekend #copyrightSFR ©) sont rythmées par mes missions chez les clients et mon implication managériale en tant que Directeur Associé en charge d’un pôle chez Rhapsodies Conseil mais aussi par mes 4 entrainements de Crossfit par semaine.

Vous vous demandez sûrement, mais où veut-il en venir ? Quel est le rapport avec la choucroute ? (#expressiondesannées80)

En fait, le Crossfit, que je pratique depuis plus de 3 ans, est devenu pour moi bien plus qu’un sport ou une passion, c’est un vrai mode de vie qui a naturellement pris une place majeure dans mon quotidien, pour une vie plus saine et plus équilibrée. Qui dit mode de vie, dit que mon job de consultant doit être en adéquation avec les valeurs prônées par celui-ci afin d’atteindre une harmonie pro/perso. C’est ce que j’essayerais de vous présenter juste après le petit rappel historique ci-dessous (le moment « culture » de ce billet d’humeur).

Le crossfit – kézako ?

Pour les non connaisseurs, le CrossFit est un programme de conditionnement physique général créé aux États-Unis par Greg Glassman dans les années 70 et qui prendra son appellation officielle en 1995. Il repose sur 3 principes clés : des exercices constamment variés, des mouvements fonctionnels et un entraînement à haute intensité.

Le mot CrossFit vient de Cross Fitness (en français, entraînement croisé), appelé ainsi parce qu’il mélange différentes activités physiques et sportives préexistantes. En effet, il combine principalement l’haltérophilie (épreuves JO, kettlebell, dumbell, …), la gymnastique (pompes, tractions, exercices à la barre ou aux anneaux, …) et des activités de cardio training (rameur, vélo, course, corde à sauter, …).

L’objectif ici, n’étant pas de faire la page Wikipédia du Crossfit, je vous explique comment cette activité sportive dynamise positivement ma vie professionnelle , surtout quand ses valeurs font écho à celles d’un Cabinet comme Rhapsodies Conseil.

Le programme CrossFit veut augmenter la capacité de travail dans ces différents domaines en provoquant par les entraînements des adaptations neurologiques et hormonales au travers des différentes filières métaboliques. Ceci afin de préparer ses pratiquants à s’adapter à n’importe quels efforts physiques rencontrés tous les jours grâce à la variété des entraînements, l’utilisation de mouvements poly-articulaires et l’intensité élevée du travail.

Crossfit Inc.

Crossfit et conseil même combat ?

Si nous analysons un peu les fondements précisés ci-dessus, le crossfiteur combine et mixe des exercices d’haltérophilie, d’endurance et des mouvements de gymnastique comme le consultant combine des activités d’expertise (métier, fonctionnelle, technique), de R&D, d’intelligence situationnelle (organisation, transformation, change ou tout simplement relations interpersonnelles avec les clients), de marcom (marketing des offres/produits, publications, évènements, …), de management (interne dans le cabinet ou externe dans ses projets clients) ou encore commerciales et cela au profit de chacune des activités (et donc de son métier de consultant) car elles se nourrissent les unes des autres tirant ainsi vers une amélioration continue globale.

Chez Rhapsodies Conseil, nous prônons cette pluridisciplinarité sur-mesure pour chaque individu et soutenons des trajectoires personnalisées en donnant les clés à chacun pour s’approprier sa carrière et orienter son parcours d’évolution. C’est aussi une façon de casser la routine et garder nos consultants motivés en leur évitant l’ennui.

Toujours plus loin, toujours plus haut

Si nous regardons un peu plus loin, le Crossfit a été conçu pour tester et challenger mentalement et physiquement avec une très haute intensité de travail ce qui pousse chacun des pratiquants au dépassement de soi (un des principes fondamentaux du Crossfit). Cette habitude à dépasser ses limites, à sortir de sa zone de confort, à aller là où on n’est encore jamais allé se traduit chez Rhapsodies Conseil également. Nous mettons en place un environnement propice et favorable à l’innovation et la disruption des idées établies !

Une citation de Mark Twain symbolise bien ce dépassement de soi, cette persévérance et cette exigence aussi bien personnelle que professionnelle.

Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait.

Ensuite, une autre valeur fondamentale de notre cabinet de conseil, la bienveillance, se reflète très bien dans la pratique du Crossfit ! En effet, nous nous sommes toujours refusé à mettre nos collaborateurs en concurrence interne, nous favorisons une organisation collaborative faite de synergies et de complémentarités.

Dans le Crossfit, vous n’êtes en concurrence et en compétition qu’avec vous-même pour accomplir vos propres objectifs personnels (perte de poids, meilleure forme physique, meilleure santé, etc.).

De plus, la communauté Crossfit offre un environnement d’entraide et de partage. Vous n’êtes pas juste un membre qui a payé sa cotisation, vous faites partie d’une équipe soudée qui vous soutient durant chacun de vos entraînements. C’est la même chose pour l’ensemble de nos collaborateurs, malgré une localisation souvent dispersée en mission chez nos clients, ils savent qu’ils peuvent compter sur leur coach et leurs co-équipiers (principe d’équipes resserrées) en cas de besoin ou de difficulté.

Pour conclure, je dirais que malgré un monde piloté de plus en plus par l’égocentrisme et les réseaux sociaux, dans le Crossfit comme chez Rhapsodies Conseil, pas de place à la vanité et l’individualisme !

De la même manière que vous ne trouverez pas de miroir dans une salle de CrossFit, vous ne trouverez pas de récompense individuelle au détriment d’un autre collaborateur ou du collectif, car comme le dit un proverbe africain, « Tout seul on va plus vite, ensemble, on va plus loin. »

Rejoignez l’équipe Architecture d’Entreprise

Rejoignez l'équipe Architecture d'Entreprise

15 mars 2019

– 1 min de lecture

Olivier Constant

Senior Manager Architecture

Nous sommes un acteur de référence de la transformation et nous recrutons pour étoffer notre équipe d’Architectes d’Entreprise. 

Découvrez dans cette vidéo une équipe sérieuse qui ne se prend pas au sérieux. Des personnalités variées, pleines d’humour et passionnées par le même métier : l’Architecture d’Entreprise.

Pour en savoir plus, découvrez notre page expertise et publications 

Vous avez envie de travailler avec nous ?

Envoyez-nous un pigeon voyageur ou message sur notre page Linkedin, Instagram, Facebook, voire un e-mail (Soyons Fous) ?

Découvrez nos offres d’emploi autour de l’architecture de l’Entreprise