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Comment le contract management peut faire la différence sur l’IA ?

Comment le contract management peut faire la différence sur l'IA ?

Est-ce une arme de pollution massive ?

10 février 2025

Jessica HONORINE

Consultante Contract & Vendor Management


L’intelligence artificielle promet des avancées spectaculaires, mais elle a un coût environnemental élevé. Alors, comment agir concrètement ?

Notre experte propose une réponse audacieuse dans son carrousel : le contract management comme levier de durabilité.
– Anticiper les clauses essentielles : intégrer des exigences environnementales dès la rédaction des contrats.
– Optimiser la consommation des ressources : négocier des solutions moins énergivores et plus efficaces avec les partenaires.
– Imposer une responsabilité partagée : s’assurer que chaque fournisseur s’engage à réduire son empreinte carbone.
– Mesurer et ajuster en continu : utiliser les contrats comme outils de pilotage pour garantir des impacts positifs.
– Le contract management ne se limite pas à la gestion administrative : il devient un allié stratégique pour une IA plus responsable.

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Digital Operational Resilience Act (DORA) : Un tournant pour le Secteur Financier et ses Acteurs IT

Digital Operational Resilience Act (DORA) : Un tournant pour le Secteur Financier et ses Acteurs IT

El Abed KADIRI

Consultant Contract Management

Le règlement européen 2022/2554 du 14 décembre 2022, connu sous le nom de Digital Operational Resilience Act (DORA), marque un tournant majeur pour la résilience opérationnelle numérique du secteur financier. Il s’appliquera à partir du 17 janvier 2025, imposant des exigences strictes aux entreprises pour garantir leur capacité à résister, à répondre et à se remettre des cyberattaques, des pannes de systèmes et autres perturbations informatiques.

Pour le contract management, ce règlement soulève des enjeux cruciaux en matière de gestion des fournisseurs tiers et gouvernance IT, mais aussi en gestion des risques opérationnels, conformité réglementaire, tests de résilience, gestion des incidents et protection des données, nécessitant des clauses contractuelles renforcées pour garantir continuité, sécurité et conformité.

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Pourquoi DORA ?

Avec l’augmentation des cyberattaques et la dépendance croissante des systèmes financiers aux technologies numériques, l’Union européenne a introduit DORA pour :

Les piliers de DORA

DORA s’articule autour de cinq axes principaux :

Enjeux pour le Contract Management

En tant que contract manager IT, DORA pose des défis majeurs dans la gestion des contrats et des relations fournisseurs. Voici les points clés à anticiper :

3.1. Intégration des exigences DORA dans les contrats

Les entreprises devront réviser leurs contrats avec les fournisseurs tiers pour inclure des clauses spécifiques liées à :

3.2. Gestion des fournisseurs critiques

DORA exige une identification claire des fournisseurs tiers critiques. Cela implique de :

Opportunités et bénéfices

DORA, bien qu’exigeant, offre des opportunités significatives :

4.1. Amélioration de la résilience globale

Les entreprises qui investissent dans leur résilience numérique bénéficient d’une meilleure protection contre les cybermenaces et les interruptions.

4.2. Réduction des risques juridiques et financiers

En intégrant DORA dans leurs pratiques contractuelles, les entreprises réduisent les risques liés à des non-conformités coûteuses ou à des litiges avec les régulateurs.

4.3. Valorisation de la relation client

Être conforme à DORA peut devenir un avantage compétitif, rassurant les partenaires et les clients sur la fiabilité et la sécurité des services proposés.

Comment se rendre conforme à DORA ?

Nous proposons une démarche structurée en trois étapes pour se préparer efficacement à DORA :

5.1. Audit de l’existant

5.2. Mise en conformité contractuelle et opérationnelle

5.3. Mise en place de tests de résilience et d’audits réguliers

Vers un écosystème financier plus sûr et résilient

Le Digital Operational Resilience Act (DORA) marque une étape cruciale dans la protection du secteur financier européen face aux défis numériques. En imposant des règles claires et harmonisées, DORA contribue à renforcer la résilience, à encourager l’innovation et à améliorer la confiance des parties prenantes.

Toutefois, son succès dépendra de la capacité des institutions financières à intégrer ces exigences dans leurs stratégies et de l’efficacité des régulateurs à en superviser l’application. Malgré les défis, DORA représente une avancée vers un écosystème financier durable et sécurisé, où la technologie peut être exploitée sans compromettre la stabilité ni la sécurité.

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Comment réduire l’impact environnemental de l’IA via le Contract Management pour un numérique plus responsable ?

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16 décembre 2024

Contract & Vendor Management

Jessica HONORINE

Consultante Contract & Vendor Management

Selon le journal Le Monde, les quatre grands acteurs du numérique américain (Amazon, Meta, Google et Microsoft) prévoient d’investir 200 milliards de dollars en 2024 dans de nouvelles infrastructures afin de soutenir le développement de l’intelligence artificielle (IA).

Ce financement vise à répondre à la demande croissante de puissance de calcul et à la nécessité d’augmenter le nombre de datacenters pour faire fonctionner des intelligences artificielles génératives, telles que ChatGPT ou les assistants virtuels. Les systèmes d’intelligence artificielle nécessitent d’immenses quantités de données et des calculs intensifs qui doivent être traités dans des datacenters. Les datacenters, qui fonctionnent 24/7 consomment d’énormes quantités d’énergie et d’eau.

En seulement cinq ans, les émissions de gaz à effet de serre associées au secteur numérique ont augmenté de 48 %. Le numérique, et plus particulièrement l’IA, est responsable de 3 à 4 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre, selon le rapport de The Shift Project « Lean ICT : Pour une sobriété numérique ».

En effet, les recherches ont montré que les modèles d’IA nécessitent de plus en plus de puissance de calcul à mesure de leur sophistication, ce qui entraînerait la hausse de besoin énergétique. Il a été démontré que la consommation d’énergie pour entraîner l’IA à un langage naturel peut être supérieure à la consommation d’énergie des systèmes de machines learning.

Cette situation appelle à une action urgente pour minimiser l’impact environnemental de l’IA, notamment par le biais du Contract Management, un levier stratégique pour un numérique plus responsable.

Définir précisément le besoin avant de s’engager sur des outils de l’IA

Avant de se lancer dans l’utilisation d’outils d’intelligence artificielle, il est essentiel de définir précisément ses besoins. On peut fréquemment observer que les clients expriment un engouement pour ces technologies sans avoir une vision claire de leurs objectifs réels.

Il incombe au contract manager de jouer un rôle clé en incitant le client à clarifier et à remettre en question ses besoins. En accompagnant le client dans cette réflexion, le contract manager peut l’aider à identifier la solution la plus pertinente et à optimiser l’usage des technologies proposées, évitant ainsi la surconsommation inutile de l’intelligence artificielle.

Il peut ainsi guider le client dans ses choix en veillant à ce que les outils sélectionnés répondent réellement aux enjeux et objectifs spécifiques de l’entreprise, tout en maximisant l’efficacité et la rentabilité des projets.

Sélectionner dans la mesure du possible stratégiquement les fournisseurs garantissant l’utilisation de ressources durables

Pour limiter l’impact écologique de l’IA, il est essentiel de sélectionner des fournisseurs qui garantissent une utilisation responsable des ressources énergétiques. Cela peut se faire en intégrant des critères de sélection visant à prioriser les fournisseurs qui utilisent un pourcentage minimum d’énergie renouvelable pour alimenter leurs datacenters et infrastructures IT. En cas d’appel d’offres, il est possible de définir précisément dans le cahier des charges les attendus en termes écologiques et favoriser les fournisseurs qui ont des certifications telles que l’ISO 50 001 et 14 001 sur la performance énergétique et environnementale, ISO 26000 sur la responsabilité sociétale des entreprises ou qui ont signé le Code of Conduct for Energy Efficiency in Data Centres

Par exemple, on peut sélectionner des fournisseurs qui adoptent des technologies qui répartissent la charge de calcul sur plusieurs datacenters, minimisant ainsi la surconsommation dans un seul centre et réduisant l’empreinte carbone.  D’autres fournisseurs peuvent proposer des solutions novatrices. Par exemple, un hébergeur suisse (Infomaniak) récupère la chaleur dégagée par leur datacenter et l’intègre au réseau de chauffage urbain, permettant de chauffer des foyers et fournir de l’eau chaude toute l’année, de jour comme de nuit. Cela en fait un exemple de double usage innovant : le datacenter remplit à la fois ses fonctions de stockage et de calcul de données tout en participant à la production d’énergie thermique pour les habitants locaux.

A noter qu’il peut être intéressant de faire attention au Power Usage of Effectiveness (PUE) et Water Usage of Effectiveness (WUE) qui mesure le rendement d’un datacenter entre l’énergie et l’eau qu’il utilise par rapport aux équipements dont il est pourvu. Même si ce ne sont pas les seuls indicateurs, de bons PUE et WUE garantissent un datacenter qui dispose d’une consommation d’énergie et d’eau optimale.

Pousser à l’amélioration des calculs massifs via les clauses d’amélioration continue

L’un des principaux défis de l’IA réside dans l’optimisation des calculs massifs nécessaires pour le traitement de grandes quantités de données. Ces opérations sont particulièrement énergivores. En introduisant des clauses d’amélioration continue dans les contrats, il est possible de garantir que les fournisseurs s’engagent à optimiser l’efficacité énergétique des algorithmes et des infrastructures utilisées.

Pour cela, on peut prévoir dans une clause une réévaluation régulière de l’efficacité de ses algorithmes et des infrastructures et à mettre en œuvre des technologies durables et plus efficientes.

Entre autres, on peut également encourager l’adoption de technologies qui répartissent la charge de calcul sur plusieurs datacenters, minimisant ainsi la surconsommation dans un seul centre et réduisant l’empreinte carbone.

Enfin, il est possible d’exiger que le fournisseur mette un plan d’optimisation des infrastructures de calcul à chaque cycle contractuel pour garantir que celles-ci restent à la pointe de l’efficacité énergétique.

Garantir l’optimisation des ressources IT

Il est recommandé d’ajouter des audits énergétiques réguliers dans les contrats avec les fournisseurs, permettant de mesurer l’efficacité des serveurs, des centres de données et des algorithmes IA. Ces audits doivent s’appuyer sur des indicateurs de performance précis, tels que la consommation énergétique,  la réduction des ressources inactives et la répartition des flux informatiques.

Cela peut se faire en intégrant des accords de niveau de service (SLA) qui incluent des critères de performance énergétique. Une façon innovante serait d’imaginer des SLA de limitation de la consommation d’énergie. Cela nécessite d’accepter des logiciels ou des équipements plus lents. On parlerait alors de “Slow IT”.

Encourager le fournisseur à aller vers l’économie circulaire via des clauses dédiées

Il s’agit de promouvoir l’économie circulaire dans le cycle de vie des équipements technologiques, notamment pour les serveurs en fin de vie.

En effet, l’impact principal des équipements se situant durant la phase de fabrication, il est primordial de prolonger au maximum leur durée de vie. Si le fournisseur ne peut pas utiliser un équipement aussi longtemps qu’il le faudrait, il est de sa responsabilité d’organiser sa deuxième vie.

De plus, les déchets électroniques générés en fin de vie des équipements posent des défis en matière de gestion et de recyclage, souvent aboutissant à une contamination des sols et des nappes phréatiques.

Pour encourager l’économie circulaire, il serait intéressant d’inclure dans les contrats des dispositions concernant le recyclage et la réutilisation des équipements informatiques ainsi que des plans de gestion des déchets électroniques afin de minimiser leur impact environnemental pour le matériel en fin de vie.

En somme, l’impact environnemental de l’intelligence artificielle est bien plus profond qu’il n’y paraît. Au-delà des émissions de gaz à effet de serre, la construction et l’exploitation des datacenters contribuent à la pollution des sols en raison de l’extraction intensive de minerais nécessaires à la fabrication des composants électroniques. L’utilisation massive d’eau pour le refroidissement des serveurs exerce également une pression sur les ressources hydriques locales, pouvant aggraver les problèmes de pénurie d’eau dans certaines régions. Ces enjeux soulignent l’importance d’adopter une approche plus responsable et durable dans le développement de l’IA. Il est essentiel que tous les acteurs impliqués prennent des mesures concrètes pour atténuer ces impacts, en intégrant des pratiques d’économie circulaire et en favorisant des technologies moins gourmandes en ressources. Seule une prise de conscience collective permettra de concilier innovation technologique et préservation de notre environnement.

The Shift Project – Rapport Lean ICT : Pour une sobriété numérique

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Le Digital Employee Experience (DEX) : Quelle valeur peut-elle vous apporter ?

Le Digital Employee Experience (DEX) : Quelle valeur peut-elle vous apporter ?

18 juin 2024

Achraf KHOUZAR

Senior Consultant

81 % des directeurs et acteurs IT pensent que les entreprises qui ne font pas du DEX une priorité seront distancées par leurs concurrents.

Avec l’évolution constante des technologies et le développement du travail à distance, les entreprises accordent de plus en plus d’importance à l’expérience digitale de leurs collaborateurs. 

D’un point de vue collaborateur,  les attentes vis-à-vis de leur environnement de travail ont également connu une transformation significative. Plusieurs facteurs doivent être pris en considération pour répondre aux nouvelles exigences et aspirations des employés. 

D’après une étude d’Ivanti, 63 % des employés exercent une partie de leur activité en dehors du cadre traditionnel du bureau, et de ce fait, garantir une expérience numérique satisfaisante, sécurisée et efficace pour les collaborateurs devient un enjeu considérable pour la majorité des entreprises.

Comment peut-on définir la solution DEX et que peut-elle vous apporter ?

Gartner définit les outils de la Digital Employee Expérience, dite DEX comme une « évolution de la supervision de l’expérience digitale, de la gestion unifiée des terminaux (UEM) et des outils de monitoring et de gestion à distance”.

Dans un sens plus large, il faut considérer la DEX non seulement comme un outil mais comme une stratégie globale qui vient superviser, sécuriser et optimiser l’expérience numérique des collaborateurs.

Ils permettent aux équipes de la Digital Workplace (DWP) d’avoir une vue globale sur l’expérience digitale des employés et de mettre en place des stratégies centrées sur l’humain.

Tendances du marché

La Digital Employee Experience est une tendance majeure dans le monde professionnel. Les chiffres clés montrent l’importance croissante de la DEX dans la stratégie de transformation numérique des entreprises.

En effet, selon une étude Ivanti, 80 % des directeurs et acteurs IT interrogés considèrent la DEX comme un élément clé de leur stratégie de transformation numérique.

De plus, 81 % d’entre eux pensent que les entreprises qui ne font pas du DEX une priorité seront distancées par leurs concurrents.

Les enjeux de la solution DEX

Lorsque l’on évoque le Digital Employee Expérience ou également appelée Tour de contrôle, il est essentiel de comprendre les enjeux de cet outil au sein des entreprises. 

Tout d’abord, la gestion de la DEX joue un rôle majeur dans 

La solution DEX offre une visibilité de bout en bout sur l’IT pour améliorer l’expérience digitale des employés :

Pourquoi faut-il opter pour une solution DEX ?

Pour choisir une solution DEX adaptée à ses besoins, il est essentiel de prendre en compte certaines fonctionnalités clés, notamment :

  1. Supervision en continue : La solution doit être capable de surveiller en temps réel les appareils, les applications et les réseaux pour mesurer l’expérience réelle des employés.
  2. Rapports et alertes : Les administrateurs doivent recevoir des rapports en temps réel et des alertes lorsqu’un problème survient, afin de pouvoir agir rapidement.
  3. Scripts préétablis et fonctionnalités configurables : Ces outils permettent aux équipes informatiques de résoudre efficacement les problèmes et de personnaliser la solution en fonction des besoins spécifiques de l’entreprise.
  4. Intégration avec la messagerie et les outils de résolution d’incidents : L’intégration avec ces outils permet une communication fluide avec les employés et une résolution rapide des problèmes.
  5. Analyse des causes profondes : La solution doit être capable d’analyser les causes profondes des problèmes afin de faciliter leur résolution.
  6. Collecte du feedback des employés : La possibilité de recueillir le feedback des employés via des enquêtes intégrées permet d’obtenir des informations qualitatives précieuses pour améliorer l’expérience digitale.
  7. Capacité d’analyse comparative interne : Cette fonctionnalité permet de comparer les scores de l’expérience digitale des employés sur différentes applications, ce qui permet d’identifier les meilleures pratiques et les domaines à améliorer.

Zoom sur les cas d’usage du DEX

Accroître le digital expérienceÉtablir des mesures strictes sur le Digital Workplace Mesurer la perception qu’ont les collaborateurs de leur expérience technologique Mesurer la performance du réseau, des équipements et des applicationsIdentifier les tendances organisationnelles en termes d’adoption ou d’utilisation des technologiesEnrichir la définition de persona à travers l’intégration de données DEX
Réduire les incidentsIdentifier les problèmes de performances non signalées et ainsi lutter contre les “Digital Friction” Identifier et suivre les tendances de performances des équipements avant la survenue de l’incident Identifier et remédier aux freins du télétravail, tel qu’un mauvais réseau Wifi 
Augmenter l’efficienceAméliorer l’experience du service desk en facilitant la résolution précoce des incidents(shift left), par l’obtention de données pertinentes (utilisateur, équipement, etc)Identifiez avec précision tous les collaborateurs impactés par un incidentAméliorez l’expérience d’Onboarding des employés en utilisant les données du DEX pour déterminer les applications et services dont ils peuvent avoir besoin 
Réduire les coûtsSupprimer les logiciels inutilisés et récupérer les coûts de licence Rightsizing des terminaux physiques et logiques Réduire la dette technique en supprimant les apps obsolètes qui ont été remplacéesIdentifier les opportunités de réduction de la consommation d’énergie
Accélérer les valeursSoutenir les programmes d’amélioration continue de l’ingénierie et des services.Identifier la performance de vos équipements et applications par rapport aux concurrents Identifier les opportunités de déploiementEvaluer l’impact du Digital Workplace sur le business

Exemple de cas d’usage : Travail hybride

Faisons un focus sur l’utilisation du DEX  dans un contexte de travail hybride pour prévenir et réduire les incidents au sein d’une entreprise.

Alors que les modèles de travail hybride deviennent la norme, les organisations doivent offrir une expérience digitale cohérente, fiable et sécurisée à leurs employés. Les applications de communications unifiées font partie des applications les plus  critiques dans ce modèle car impactent directement la productivité. 

Les défis 

Parmi les bénéfices pour ce cas d’usage: 

En conclusion

La DEX offre une sorte de tour de contrôle pour les équipes en charge du digital workplace en entreprise. Et en tant que tour de contrôle, elle se charge de collecter les informations relatives aux équipements, applications et autres ressources que l’on peut associer à l’IA pour permettre aux équipes IT d’agir de manière proactive dans la prise de décisions et améliorer l’expérience des collaborateurs. 

Dans ce contexte en constante évolution, les entreprises doivent s’adapter pour répondre aux nouvelles attentes des collaborateurs. 

En favorisant un mode de travail hybride, en mettant en place un cadre culturel et managérial propice à l’épanouissement des employés, et en offrant une expérience digitale exemplaire, les entreprises seront en mesure d’attirer et de retenir les talents clés.Reconnaître la valeur de chaque collaborateur et placer son bien-être au cœur des préoccupations permettra aux entreprises de prospérer dans un environnement compétitif tout en renforçant l’engagement et la loyauté de leurs équipes. Le Digital Employee Experience est ainsi un levier essentiel pour assurer la réussite de l’entreprise dans cette nouvelle ère du travail.

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